Paroles
Tous les textes sont signés Pi.
Nous ne désespérons pas de pouvoir un jour, nous attaquer à l’espagnol, au chinois mandarin dès que maîtrisés…
Notre but est de partager nos regards, nos émotions sur des thèmes qui nous touchent.
Nous attendons vos réactions sur ces sujets qui vous touchent peut-être aussi.
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- Obtusus
- Vinyl Version
- Retenez vos chiens
- A table
- Frida
- Moi-je moi-je
- La course
- Non merci
- L’insecte
- Epilogue
- Le Chant Bleu
Tu dis rien ne peut t’arrêter.
Toujours avancer, toujours.
Pour toi la vie : un combat, un danger.
Mais putain qu’est ce que t’es lourd !
Tes désirs bien bizarres
C’est ton âme qui se perd
dans ton monde ordonné
où rien ne doit dépasser.
Toi tu aimerais, toi tu aimerais
tout mettre au pas, droit, carré.
Tu fais des un-deux, tu fais des un-deux !
Tu vis sur une ligne figée.
Toujours avancer, avancer, avancer.
A tes désirs tout doit se plier.
Mais putain qu’est ce que t’es lourd !
Tes désirs bien bizarres
c’est ton âme égarée
dans ton monde étriqué
où rien ne doit dépasser.
toi tu voudrais, toi tu voudrais
nous mettre au pas
alignés, droits, carrés…
A faire des un-deux, à faire des un-deux !
Tes désirs sont bizarres, tes désirs sont bizarres…
Et quand tu rêves
A haute voix
Les autres rêvent avec toi
Tu peins tes songes
Tout en ciel bleu
Et l’utopie n’existe pas
Et quand tu ries
A pleins poumons
Les autres rient aussi avec toi
Ton évasion, ta dérision,
Aucun réveil ne les effacera
Et quand tu aimes
A haute voix
Les autres s’aiment aussi avec toi
De petits plaisirs en petits plaisirs
On ne gardera que la joie
Tu peins tes songes
Tout en ciel bleu
Non l’utopie n’existe pas
je sais d’où je viens, retenez vos chiens, je sais d’où je viens
je sais d’où je viens et si jamais je doute, si je perds mon chemin,
retenez vos chiens !
je sais d’où je viens et si jamais je doute, si je suis en déroute…
retenez vos chiens !
j’irai arracher les clôtures, je ferai voler les frontières,
en suivant la lumière
pour plonger au coeur de la ville,
bousculer la foule jusqu’à toi
et entendre encore le son de ta voix,
le son de ta voix me rend encore plus fort,
me rend encore plus fort.
Retenez vos chiens !
je sais d’où je viens, retenez vos chiens, je sais d’où je viens.
je sais d’où je viens, retenez vos chiens, je sais d’où je viens.
ils peuvent bien aboyer, j’irai contre vents et marrées,
en suivant la lumière,
pour plonger au coeur de la vie,
bousculer la foule jusqu’à toi
et entendre encore le son de ta voix.
Serres moi encore plus fort, serres moi encore plus fort.
j’irai arracher les clôtures, je ferai voler les frontières,
bousculer la foule jusqu’à toi…
A table !!
Hummmm mouais
Hummmm mouais
Hummmm qu’est ce que je suis content.
Qu’est ce que je suis content.
Qu’est ce que je suis content.
Oui qu’est ce que je suis content.
Hummmm mouais
Ouais
Ouais
Hummmm mouais…
Hey hey aie aie hey et hey
Hey hey aie aie hey et hey et hey
Hi hey ho hau, hi hey ho hau, hi hey ho hau, hi hey ho hau,
Hau o hau, hau hey o hau, hau o hau, hau hey o hau
Weyiiiiiiiii
Hi hey ho hau, hi hey ho hau, hi hey ho hau, hi hey ho hau
Hau o hau, hau hey o hau, hau o hau, hau hey o hau!
Hey ! qu’es ce que tu vois ? Hey ! Qu’es ce que tu sens ?
Ben rien, tu vois pas plus loin que le bout de ton nez.
Tant que le monde tourne, tourne autour de moi, tourne autour de moi.
Rien ne me touche
Tout glisse sur moi.
Et rien, non rien ne me touche. Non rien.
Le monde peut bien crever la bouche ouverte.
Moi je suis comme le vent.
Moi je veux vivre insouçiant
Le reste n’est qu’une perte de temps.
Moi je sais ce qui est bien.
Et j’ai besoin de personne.
Les autres c’est une perte de temps.
moi je moi je moi je.
Hey ! qu’es ce que tu cherches ? Dis hey ! Mais où tu vas ?
Ben nullepart, tu vois pas plus loin que le bout de ton nez.
Tant que la banque tourne tant que la bourse tourne.
Tournent, tournent pour moi .
Tout roule pour moi, tout roule pour moi.
Et rien non rien ne me touche. Non rien.
Le monde peut bien crever la bouche ouverte.
Moi je suis comme le vent.
Moi je veux vivre insouçiant.
Le reste n’est qu’une perte de temps.
Moi je sais ce qui est bien.
Et j’ai besoin de personne.
Les autres c’est une perte de temps.
Moi je moi je moi je
Rien ne sert de courir, non rien ne sert de courir
Rien ne sert de courir, si on ne cerne rien
Si rien, on ne cerne rien, rien ne sert de courir.
Pourquoi tu cours, pourquoi je cours ?
Pourquoi tu cours, pourquoi je cours ?
aller, aller, aller cours !
Des vallées, des vallées dévallées.
Si rien, on ne cerne rien, on ne cerne rien, on ne cerne rien !
Non merci, non merci, non merci.
« T’as pas compris c’qu’on t’as dit ?
Le bon chemin c’est par là!
t’as pas besoin de réfléchir
juste tais toi, et fais ça, et puis ça et encore ça ! »
Même si toi tu veux pas
« c’est la crise t’as pas l’choix
c’est la vie c’est comme ça
c’est la crise » on te dit ça
des blabla des blabla et encore des blabla
« Mais toi tu vas être gentil
ou la sortie c’est par là!
t’as pas besoin de réfléchir
juste signe là et tais toi, puis fait ça et encore ça! »
même si toi tu veux pas
« c’est la crise t’as pas l’choix
c’est la vie c’est comme ça
c’est la crise « on t’as dis ça
des blabla des blabla et encore des blabla
si c’est ça l’choix j’en veux pas
si c’est ça l’choix c’est sans moi
c’est quoi le choix, c’est quoi ce choix ?
secoues ta tête et tu verras que tu as le choix
secoues ta tête et tu verras que tu as le choix
devant toi…
>
>
Un insecte dans ma tête!
qu’est ce?
Un insecte dans ma tête!
qu’est ce?qu’est ce?
Dans ma tête, dans ma tête!!
qu’est ce?!
Arrête!Arrête!Arrête!Arrête!
Envie de ne plus penser?!
Ne rien, contrôler?!
Ne plus écouter….?!
Arrête…
Envie envie envie!! De s’oublier… ?!
De respirer!
Se liberer…!
Arrête…
Ecoute! Passe ce doute, écoute!
Insecte, Insecte,
Où vas ton chemin?
Viens là! Dans ma main!
Me relever, me reveler, enfin!!
Expire! Laisse toi emporter!
Encore!
Inspire! Là, la liberté!
Allez!
Expire, inspire,expire, inspire,expire, inspire, allez allez!
Expire, inspire,expire, inspire,expire, inspire, allez allez!
Allez, allez,allez, allez!…
La vie ce n’est pas se pendre à son fil….
Pas même un fleuve tranquille…
Certitudes convenues, coulées dans l’argile !!
Rien ne bougerait d’un cil!
Aucun risque de coups, aucun risque de coûts,
Aucun risque de couler, si on reste à quai!!!
Si tout est figé, figé!
La vie ce n’est pas se pendre à son fil…
Le fil d’Ariane, le sang, la cible,
côté ADN de la sève à l’argile…
certitudes convenues?
certitudes convenues…
Allons, allons, allons!!
Allons, allons, allons?!
Allons voir?! Allons voir!!
Allons voir!!
Laisse moi le chant bleu,
Celui du blues et de ses aïeux
Un refrain mauvais qui tourne à l’infini
Et ce désir noir, il me séduit
Rêve, Rêve, ô le rêve
Qui swingue mes pas, jusqu’à toi
D’un sax heureux pleurant sans trêve
Rêve, Rêve, ô le rêve
Rêve, Rêve, ô le rêve
Rêve, Rêve, ô le rêve
Le jour où j’ai perdu ma fantaisie
J’ai cassé le miroir et suis partie
Rêve, Rêve, ô le rêve
Qui swingue mes pas, jusqu’à toi
Paroles :Chantal
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